Recherche en épidémiologie

Le registre facilite l’utilisation de la base de données pour des études de recherche en lien avec d’autres organismes régionaux, nationaux ou internationaux. Il participe activement aux recherches mises en place dans le cadre du réseau FRANCIM, ainsi qu’aux objectifs définis dans le cadre de la convention tripartite avec Santé Publique France et l’INCa.

Collaboration avec FRANCIM

Le réseau français des registres des cancers (Francim) est une association loi 1901 qui regroupe l’ensemble des registres de cancers français, métropolitains et ultra-marins, généraux (au nombre de 19) et spécialisés d’organe (au nombre de 13), évalués régulièrement par le Comité d’évaluation des registres (CER).

Notre registre est membre du réseau FRANCIM et participe activement à toutes les réunions de ce groupe et à de nombreuses études organisées dans ce cadre. Le registre a pour objectif de contribuer à la production de statistiques nationales et internationales sur le cancer en intégrant les données d’incidence et de survie du département de l’Hérault à la base commune des registres de cancers gérée en partenariat avec Santé Publique France, l’INCa, le Réseau FRANCIM et le département de biostatistiques des Hospices Civils de Lyon.

Sources de signalement des données

Les principales sources de données du Registre des Tumeurs de l’Hérault sont :

Le Registre contribue à la recherche épidémiologique sur le cancer :

  • d’une part, en réalisant ses propres projets de recherche et,
  • d’autre part en participant et en collaborant, notamment par la mise à disposition de ses données, à des projets de recherche, d’envergure locale, nationale et internationale.

Les projets de recherche sont réalisés à l’initiative du Registre ou sur commande ou sollicitation des partenaires locaux, nationaux (FRANCIM, INCa, Santé publique France, INSERM) et internationaux.
Ces études sont essentiellement à visée descriptive ou évaluative, plus rarement à visée étiologique. Elles sont menées en population générale sans biais de sélection.

La plupart des études sont financées sur des financements spécifiques obtenus en réponse à des appels à projets scientifiques. Certains projets sont financés dans le cadre du programme de travail partenarial (FRANCIM, Hospices Civils de Lyon, Santé publique France et INCa) ou sur une sollicitation spécifique d’un des partenaires.